Question-réponse
Vérifié le 24/12/2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre), Ministère chargé de la justice Il est interdit d'exercer des mauvais traitements envers les animaux domestiques et les animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité. Des sanctions pénales sont prévues en cas de mauvais traitements, d'abandon, de sévices graves et d'atteintes à la vie ou à l'intégrité de l'animal. Les maltraitances peuvent être signalées à la police ou à la gendarmerie, aux services vétérinaires de la direction départementale de protection des populations ou à une association de protection animale.
Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce. Il est interdit d'infliger des mauvais traitements à un animal domestique ou un animal sauvage apprivoisé ou tenu en captivité. Les actes suivants sont interdits : Si vous êtes témoin d'un acte de maltraitance envers un animal sur la voie publique qui nécessite une intervention immédiate pour la survie de l'animal, <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F33953">alertez la police ou la gendarmerie</a>. Vous pouvez également contacter les services vétérinaires de la direction départementale de protection des populations et/ou une association de protection animale. Il faut fournir un maximum de détails sur les faits et le lieu pour qu'une enquête puisse être ouverte, si possible avec photos ou vidéo à l'appui. Les associations et fondations nationales de protection animale peuvent être contactées par téléphone et/ou mail. Certaines ont mis en place des applications de signalement. Ces informations sont disponibles sur leur site internet. Les associations et fondations nationales de protection animale disposent d'un réseau d'informateurs et d'enquêteurs en lien avec la gendarmerie et les services vétérinaires. Si vous voyez des cas de maltraitance sur Internet, signalez le sur le <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F31979">site Pharos</a>. Ce site est géré par des policiers et gendarmes spécialisés. Si votre animal a été victime de maltraitances, vous pouvez <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F1435">porter plainte</a>. Vous pouvez contacter une association de protection animale pour obtenir des conseils et vous faire assister dans votre démarche. Toute personne qui élève, garde ou détient un animal et qui ne respecte pas ces obligations encourt une amende de <span class="valeur">750 €</span>. La personne qui inflige, volontairement, sans nécessité, publiquement ou non, des mauvais traitements à un animal, encourt une amende de <span class="valeur">750 €</span>. Le tribunal peut décider, en plus, de confier définitivement l'animal à une fondation ou une association de protection animale.
À noter un mineur âgé de moins de 17 ans ne peut pas acquérir un animal de compagnie sans le consentement de ses parents ou des <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F3132">personnes exerçant l'autorité parentale</a>. L'abandon d'un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité est puni d'une peine allant jusqu'à 2 ans de prison et <span class="valeur">30 000 €</span> d'amende. Le tribunal peut décider, en plus, de confier définitivement l'animal à une fondation ou une association de protection animale. Il peut prononcer également, les peines complémentaires suivantes : Si vous êtes témoin d'un acte de maltraitance envers un animal sur la voie publique qui nécessite une intervention immédiate pour la survie de l'animal, <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F33953">alertez la police ou la gendarmerie</a>. Vous pouvez également contacter les services vétérinaires de la direction départementale de protection des populations et/ou une association de protection animale. Il faut fournir un maximum de détails sur les faits et le lieu pour qu'une enquête puisse être ouverte, si possible avec photos ou vidéo à l'appui. Les associations et fondations nationales de protection animale peuvent être contactées par téléphone et/ou mail. Certaines ont mis en place des applications de signalement. Ces informations sont disponibles sur leur site internet. Les associations et fondations nationales de protection animale disposent d'un réseau d'informateurs et d'enquêteurs en lien avec la gendarmerie et les services vétérinaires. Si vous voyez des cas de maltraitance sur Internet, signalez le sur le <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F31979">site Pharos</a>. Ce site est géré par des policiers et gendarmes spécialisés. Si votre animal a été victime de maltraitances, vous pouvez <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F1435">porter plainte</a>. Vous pouvez contacter une association de protection animale pour obtenir des conseils et vous faire assister dans votre démarche. La personne qui exerce, publiquement ou non, des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou qui commet un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, encourt 2 ans de prison et <span class="valeur">30 000 €</span> d'amende. Le tribunal peut décider, en plus, de confier définitivement l'animal à une fondation ou une association de protection animale. Il peut prononcer également les peines complémentaires suivantes : Si vous êtes témoin d'un acte de maltraitance envers un animal sur la voie publique qui nécessite une intervention immédiate pour la survie de l'animal, <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F33953">alertez la police ou la gendarmerie</a>. Vous pouvez également contacter les services vétérinaires de la direction départementale de protection des populations et/ou une association de protection animale. Il faut fournir un maximum de détails sur les faits et le lieu pour qu'une enquête puisse être ouverte, si possible avec photos ou vidéo à l'appui. Les associations et fondations nationales de protection animale peuvent être contactées par téléphone et/ou mail. Certaines ont mis en place des applications de signalement. Ces informations sont disponibles sur leur site internet. Les associations et fondations nationales de protection animale disposent d'un réseau d'informateurs et d'enquêteurs en lien avec la gendarmerie et les services vétérinaires. Si vous voyez des cas de maltraitance sur Internet, signalez le sur le <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F31979">site Pharos</a>. Ce site est géré par des policiers et gendarmes spécialisés. Si votre animal a été victime de maltraitances, vous pouvez <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F1435">porter plainte</a>. Vous pouvez contacter une association de protection animale pour obtenir des conseils et vous faire assister dans votre démarche. Blesser ou tuer un animal <span class="miseenevidence">involontairement </span> est puni de <span class="valeur">450 €</span> d'amende. Cela vaut que la blessure ou la mort soit causée par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou non respect d'une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi. La personne qui tue <span class="miseenevidence">volontairement</span> un animal domestique ou apprivoisé ou tenu en captivité, sans nécessité, publiquement ou non, encourt une amende de <span class="valeur">1 500 €</span>. En cas de récidive, la personne encourt une amende de <span class="valeur">3 000 €</span>. Si vous êtes témoin d'un acte de maltraitance envers un animal sur la voie publique qui nécessite une intervention immédiate pour la survie de l'animal, <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F33953">alertez la police ou la gendarmerie</a>. Vous pouvez également contacter les services vétérinaires de la direction départementale de protection des populations et/ou une association de protection animale. Il faut fournir un maximum de détails sur les faits et le lieu pour qu'une enquête puisse être ouverte, si possible avec photos ou vidéo à l'appui. Les associations et fondations nationales de protection animale peuvent être contactées par téléphone et/ou mail. Certaines ont mis en place des applications de signalement. Ces informations sont disponibles sur leur site internet. Les associations et fondations nationales de protection animale disposent d'un réseau d'informateurs et d'enquêteurs en lien avec la gendarmerie et les services vétérinaires. Si vous voyez des cas de maltraitance sur Internet, signalez le sur le <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F31979">site Pharos</a>. Ce site est géré par des policiers et gendarmes spécialisés. Si votre animal a été victime de maltraitances, vous pouvez <a href="https://www.talmas.fr/vos-demarches/demarches-en-ligne/?xml=F1435">porter plainte</a>. Vous pouvez contacter une association de protection animale pour obtenir des conseils et vous faire assister dans votre démarche.
Code rural et de la pêche maritime : articles L214-1 à L214-5
Articles L214-1, L214-3
Code rural et de la pêche maritime : article R214-20
Interdiction d'acquérir un animal en dessous de 17 ans
Code rural et de la pêche maritime : articles R215-1 à R215-15
Article R215-4 Abandon, sévices graves, acte de cruauté (sanction) Atteintes involontaires à la vie ou à l'intégrité (sanctions) Mauvais traitements (sanction) Atteintes volontaires à la vie ou à l'intégrité (sanctions)
Code de procédure pénale : articles 12 à 15-4
Articles 12, 14, 15
Code de procédure pénale : articles 16 à 19-1
Articles 15, 18, 19
Que faire lorsqu'un animal est enfermé dans un véhicule en plein soleil ?
Ministère chargé de l'intérieur
La maltraitance des animaux d'élevage
Ministère chargé de la justice
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Direction de l'information légale et administrative
Comment signaler une maltraitance animale et quelles sont les sanctions ?
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